Ici, je parle du bruit de l’image, c’est-à-dire du grain plus ou moins harmonieux dû aux hautes sensibilités.

Avec l’expérience je me suis aperçu que les belles lumières, celles propices aux belles photos, sont souvent faibles nécessitant de fortes sensibilités (les ISO) pour pouvoir faire des images à main levée.

Si vous avez peur du bruit dans vos photos, vous risquez de passer à côté d’occasions de photographier de belles images. Ce qui est toujours dommage.

Des exemples de moment avec peu de lumière :

• Avant et après les lever et coucher du soleil.
• En intérieur à la lumière des fenêtres ou de l’éclairage.
• Par mauvais temps.
• A l’ombre.
• Les rues la nuit.

Ce qui ne veut pas dire que ces moments sont forcément favorable, mais ils le sont souvent, et il peut être intéressant que l’on peut y faire de belles images.

Selon la situation, il peut y avoir vraiment très peu de lumière, mais elle peut être très belle, même si vous obtenez des images fortement bruitées.

Méthode pour limiter la montée du bruit.

Classée dans l’ordre logique.

• Utiliser la plus grande ouverture de votre objectif (au détriment de la profondeur de champ).
• Utiliser des temps de pause longs (au risque de faire du flou ).
• Utiliser le stabilisateur pour limiter le flou de bouger du photographe.
• Utiliser une focale à grande ouverture (comme un zoom dit pro ou une focale fixe). Pour une focale fixe économique et performante, le 50 mm est un bon choix.
• Utiliser un boitier récent (les progrès continuent à chaque génération).
• Utiliser un appareil photo à grand capteur et plus « gros » pixel (il y a une relation entre la taille des capteurs et des pixels et le bruit).

Utiliser un bon pied photo, mais cela ne sera plus de la photo à main levée !

Un concert, une panne de courant et une scène étrange sous les yeux.
Très peu de lumière et de mauvaise qualité, mais un résultat après traitement qui me plait.