La première version de Lightroom CC date d’octobre 2017, depuis elle a bien progressé et a presque rattrapé son retard sur la version historique.
Dans les petits « leçons de photo », je donne des conseils pour faire de bonnes photos sans ce ruiner, et je trouve ce système de location de logiciel plus serveur de stockage, une très mauvaise idée pour le photographe moyen.
Il vaut mieux garder son argent pour un peu de matériel, un voyage ou un cours de photographie.
Bien qu’elle puisse présenter quelques intérêts, je déconseille l’usage de ce logiciel, la version en ligne de Lightroom où les photos sont stockées dans le cloud (sur les serveurs d’Amazon).
Surtout pour un gros producteur et consommateur d’images possédant plusieurs Téra de photographie et vidéo, le tarif du stockage est prohibitif.
Il vaut mieux posséder une très bonne connexion, la fibre est fortement conseillée et votre forfait donnée en mobilité risque d’être vite épuisé.
Le modèle économique d’Adobe est très intéressant pour l’entreprise, la location du logiciel et de l’espace de stockage (au double du tarif d’Amazon) devrait lui apporter de très bons revenus, ce qui est confirmé par des résultats exceptionnels en 2019. Ce qui est dommage, c’est qu’il n’y ait pas plus de moyens mis en oeuvre pour réduire les bugs et ajouter d’autres fonctionnalités dans Lightroom.
Les deux versions de Lightroom présentant des retards par rapport à la concurrence pour certaines fonctionnalités et outils, comme le tampon correcteur, un visualiseur de netteté, un outil pour ajuster les teintes chairs…
Je pense continuer longtemps à me servir de la version Classic, la version en ligne n’est vraiment pas pour moi.
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